Pourquoi les maisons ne se vendent plus ?

Boris Intini
Directeur général de PraxiFinance
Mis à jour le
13 November 2025

Depuis 2023, un phénomène inédit frappe le marché immobilier français : les maisons ne se vendent plus, même lorsqu’elles sont correctement estimées. Là où un bien trouvait preneur en 30 à 60 jours, il reste désormais sur les portails pendant des mois, parfois un an ou davantage. Entre l’effondrement du pouvoir d’achat immobilier, les taux élevés, les refus de prêt, les contraintes liées au DPE et l’augmentation du coût des travaux, le marché s’est quasiment paralysé. Les agences constatent un volume de ventes historiquement bas et des propriétaires désemparés. Certains doivent vendre pour financer un nouveau projet, régler une succession, payer une dette fiscale ou faire face à une séparation, mais se retrouvent totalement bloqués. Ce guide complet analyse les raisons profondes du ralentissement du marché, explique pourquoi les maisons ne trouvent plus d’acheteurs et présente une solution méconnue, légale et sécurisée : la vente avec complément de prix, qui permet d’obtenir jusqu’à 50 % nets immédiatement, même dans un marché gelé, tout en conservant la possibilité d’une revente à un meilleur moment.

La hausse des taux immobiliers a paralysé la demande

L’un des facteurs majeurs du blocage du marché immobilier est la hausse rapide des taux d’intérêt. Les acheteurs ont perdu une grande partie de leur capacité d’emprunt.

Une baisse de 25 à 35 % du pouvoir d’achat immobilier

En seulement deux ans, un ménage capable d’emprunter 300 000 € ne peut plus emprunter que 200 000 € à mensualité équivalente. Résultat :

  • les acheteurs se retirent du marché
  • les biens trop chers stagnent
  • les maisons familiales, souvent plus onéreuses que les appartements, sont les premières touchées

Même lorsqu’une maison est à un prix raisonnable, les acheteurs ne disposent plus des fonds nécessaires.

Les banques accordent moins de prêts

Les conditions d’octroi se sont durcies :

  • revenus minimums plus élevés
  • taux d’endettement stricts
  • emploi stable exigé
  • refus systématiques pour les profils atypiques
  • De nombreux candidats solvables en 2020 ne le sont plus en 2025.

Les acheteurs attendent une baisse des prix

Le marché a changé psychologiquement :

  • les vendeurs pensent encore être en 2019
  • les acheteurs attendent des décotes massives
  • personne ne veut faire le premier pas
  • Ce rapport de force fige complètement les transactions.

Le DPE et les nouvelles obligations énergétiques freinent les acheteurs

Les contraintes liées à la performance énergétique sont devenues un facteur majeur de blocage.

Les maisons F et G sont boudées

Passoires thermiques =

  • travaux lourds
  • impossibilité progressive de louer
  • difficulté de financement
  • Les acheteurs préfèrent un appartement plus petit mais mieux classé qu’une maison énergivore.

Même les maisons correctement classées souffrent

Pourquoi ?

Parce que les acheteurs craignent :

  • le coût futur de l’énergie
  • les nouvelles obligations légales
  • la transition énergétique imposée
  • Tout bien qui semble énergivore, même en E ou D, est regardé avec suspicion.

Le coût des travaux décourage les acheteurs

Explosion des prix de rénovation

Entre 2020 et 2025, les matériaux ont augmenté de 25 à 60 %.

Les artisans sont débordés.

Une rénovation de 30 000 € en 2020 coûte 50 000 € en 2025.

Les maisons nécessitent plus de travaux que les appartements

Les acheteurs anticipent immédiatement :

  • toiture
  • isolation
  • chauffage
  • menuiseries
  • façade
  • Même si le bien est correct, la peur des travaux les pousse à renoncer.

Effet psychologique : “on ne veut plus s’engager dans un gouffre”

Les acheteurs veulent du prêt-à-vivre.

Les maisons anciennes deviennent synonymes de contraintes.

Les maisons sont trop chères par rapport au marché réel

Les prix affichés ne correspondent plus à la réalité.

Beaucoup de vendeurs refusent encore de revoir leurs prétentions.

Le marché de 2025 n’est plus celui de 2021

  • taux trop hauts
  • inflation
  • travaux
  • DPE
  • Les acheteurs n’ont plus les moyens des années précédentes.

Les maisons surcotées ne trouvent plus d’acheteurs

Une maison affichée 350 000 € mais valant 310 000 € ne se vendra pas. Une maison affichée au bon prix… ne se vendra pas forcément non plus.

Les vendeurs refusent des offres jugées trop basses

Beaucoup préfèrent attendre. Sauf que l’attente fait perdre encore plus de valeur.

Pourquoi les maisons ne se vendent plus ?

Cette partie couvre :

✔ Causes structurelles

✔ Pourquoi les solutions classiques ne fonctionnent plus

✔ Transition vers la solution PraxiFinance (vente avec complément de prix)

Les raisons structurelles qui expliquent le blocage du marché

Au-delà des taux, des DPE et du coût des travaux, plusieurs facteurs structurels expliquent pourquoi les maisons ne se vendent plus en France. Certains relèvent du contexte économique, d’autres d’évolutions culturelles ou démographiques.

Changement sociologique : les acheteurs veulent moins de surface

De nombreux ménages recherchent désormais :

  • proximité des transports
  • faible entretien
  • charges réduites
  • efficacité énergétique
  • simplicité
  • Les maisons sont perçues comme plus contraignantes :
  • jardin à entretenir
  • chauffage plus coûteux
  • éloignement
  • Ce changement de mode de vie réduit mécaniquement la demande.

Démographie : moins de jeunes acheteurs, plus de seniors vendeurs

La pyramide des âges crée un déséquilibre inédit :

  • les jeunes ont moins de revenus
  • les 30–40 ans n’ont plus accès au crédit
  • les seniors vendent plus, souvent par nécessité
  • Résultat : excès d’offre + affaiblissement de la demande = marché bloqué.

Les règles environnementales font peur

Interdiction de louer certaines classes, obligations de rénovation, interdiction possible des chaudières fioul, rénovation obligatoire pour certaines transactions… Même les biens en classe D ou E inquiètent certains acheteurs.

Les résidences secondaires sont en recul

Les maisons de campagne, longtemps prisées, se vendent beaucoup moins. Fin du télétravail massif + hausse de la taxe foncière + coûts énergétiques = recul de la demande.

Pourquoi les solutions classiques ne fonctionnent plus

Les vendeurs appliquent généralement les recommandations habituelles : baisser le prix, faire du home staging, changer l’agence, patienter. Mais le marché actuel ne répond plus à ces actions.

Baisser le prix n’a plus l’impact attendu

Avant :

-10 % = vente rapide.

Aujourd’hui :

-20 % ou -30 % ne suffisent pas toujours.

Pourquoi ? Parce que la difficulté n’est plus le prix, mais la capacité d’emprunt des acheteurs.

Le home staging ne transforme pas un bien énergivore

Vous pouvez embellir la maison, repeindre les murs, mettre des plantes…

Mais cela ne changera ni :

  • le DPE
  • la chaudière
  • la toiture
  • les menuiseries
  • Les acheteurs voient d’abord les contraintes techniques.

Attendre “le bon moment” est dangereux

Plus les taux montent, plus les prix baissent.

Plus les prix baissent, plus les acheteurs attendent.

Ce cercle est devenu auto-entretenu.

Changer d’agence ne change rien

Les agences n’ont aucun pouvoir sur les blocages structurels : taux, DPE, marché national.

Un bien invendable ne le devient pas parce qu’il change de vitrine.

Les maisons ne se vendent plus… mais les vendeurs ont encore besoin de liquidités

C’est le cœur du problème :

Les propriétaires ont besoin de vendre, mais le marché ne répond plus.

Les situations les plus courantes :

Vendre pour acheter un nouveau bien

Impossible si votre maison ne se vend pas.

Le projet d’achat tombe à l’eau.

Vendre pour régler une succession

Si plusieurs héritiers attendent leur part, une maison invendue bloque tout le partage.

Vendre pour payer une soulte lors d’un divorce

Sans vente, impossible d’indemniser l’ex-conjoint.

Vendre pour payer des dettes fiscales

Sans solution rapide, certains propriétaires risquent saisie ou ATD.

Vendre en urgence à cause d’une baisse de revenus

Perte d’emploi, maladie, retraite…

Mais une maison invendable reste un poids.

Vendre pour financer un EHPAD ou une maison médicalisée

Les familles n’ont pas les moyens d’attendre.

Le marché est bloqué, mais une solution existe : la vente avec complément de prix

Lorsque le marché est paralysé, les solutions classiques ne suffisent plus.

Les vendeurs refusent de brader leur bien, et ils ont raison.

C’est dans ces situations que la vente avec complément de prix prend tout son sens.

Le principe en une phrase

Vous recevez jusqu’à 50 % nets immédiatement, et vous récupérez le complément du prix lors de la revente par un professionnel.

Pourquoi c’est la solution idéale quand une maison ne se vend plus

Parce que ce montage contourne tous les blocages :

  • plus besoin d’attendre un acheteur
  • plus besoin de baisser le prix
  • plus besoin de faire des travaux
  • plus besoin d’espérer un crédit bancaire chez l’acheteur
  • plus aucun délai lié au marché

Comment cela fonctionne de manière concrète

  1. Une estimation notariale détermine la valeur réelle du bien.
  2. PraxiFinance vous verse jusqu’à 50 % nets immédiatement.
  3. Vous quittez la situation de blocage (dettes, succession, divorce, déménagement…).
  4. Le bien est revendu par un professionnel qui dispose du temps, du réseau et des moyens pour optimiser la vente.
  5. Vous récupérez la différence : le complément de prix.

Avantages principaux

  • Vous avez l’argent maintenant, pas dans 12 ou 24 mois.
  • Vous ne bradez pas votre maison.
  • Vous sortez de l’impasse immédiatement.
  • Vous ne subissez plus la loi du marché.
  • Vous bénéficiez d’un acte notarié sécurisé.
  • Vous récupérez la valeur réelle du bien.

C’est légal, sécurisé et transparent

Tout est exclusivement signé devant notaire.

Les fonds transitent par l’étude.

Vous connaissez dès le départ :

  • le montant de l’avance,
  • le montant minimal du complément,
  • les frais,
  • les délais.

Études de cas réels : quand une maison ne se vend plus pendant des mois… puis se débloque grâce au complément de prix

Les situations ci-dessous sont typiques du marché actuel. Elles montrent comment des maisons restées invendues pendant des mois, voire des années, ont finalement permis à leurs propriétaires d’obtenir des liquidités immédiates sans brader leur bien.

Cas n°1 – Maison familiale, 11 mois sans offre malgré une baisse de prix

  • Localisation : périphérie de Bordeaux
  • Valeur estimée : 410 000 €
  • Prix affiché : 399 000 €, puis 379 000 €
  • DPE : E
  • Problème : aucun acheteur solvable, retours négatifs sur les travaux

Le propriétaire devait acheter un appartement plus petit. Sans vente, impossible d’obtenir son prêt relais.

Solution PraxiFinance :

  • Avance immédiate : 205 000 € nets (50 %)
  • Achat de son nouvel appartement débloqué
  • Vente finale du bien : 395 000 €
  • Complément reversé : 180 000 €

Cas n°2 – Maison ancienne isolée, 18 mois sans visite

  • Valeur estimée : 240 000 €
  • Passoire thermique : classe G
  • Gros travaux (estimés 70 000 €)
  • Propriétaire retraité, besoin de financer un EHPAD

Impossible de vendre en agence.

Solution PraxiFinance :

  • Avance : 120 000 €
  • Frais EHPAD assurés
  • Vente finale : 245 000 €
  • Complément : 115 000 €

Cas n°3 – Succession bloquée depuis 14 mois

  • Bien estimé : 310 000 €
  • Trois héritiers, l’un refuse de signer
  • Taxes foncières impayées
  • Maison en état moyen

La succession ne pouvait pas avancer.

Solution :

  • Avance : 155 000 €
  • Indemnisation de l’héritier bloquant
  • Succession débloquée
  • Vente finale : 305 000 €
  • Complément reversé : 130 000 €

Pourquoi la vente avec complément de prix est la seule solution réellement adaptée au marché bloqué

Elle contourne les taux élevés et les refus de crédit

Les acheteurs ne peuvent plus emprunter : vous n’avez plus besoin d’eux.

Le financement vient directement du partenaire de PraxiFinance.

Elle contourne le problème du DPE

Passoire thermique, maison ancienne, travaux lourds ?

Aucun souci.

Vous obtenez votre avance sans rien rénover.

Elle contourne la baisse du pouvoir d’achat

Au lieu d’attendre que les acheteurs reviennent, vous touchez 50 % nets immédiatement.

Elle contourne les délais interminables

Plus de 6, 12 ou 18 mois d’attente.

Vous récupérez vos fonds en 4 à 6 semaines.

Elle évite de brader son bien

Contrairement à la vente classique en urgence, vous récupérez la valeur réelle lors de la vente finale.

Elle sécurise l’opération

Acte notarié, transparence des prix, traçabilité des fonds : aucune zone grise.

Dans quelles situations cette solution est-elle particulièrement efficace ?

Lorsque la maison est invendable à cause du marché

Pas d’acheteurs solvables, visite faible, prix stagnants → solution parfaite.

Lorsque des travaux lourds sont nécessaires

Toiture, chauffage, isolation, façade, électricité : la plupart des vendeurs n’ont pas 20 000 à 60 000 € pour rénover.

Lorsque le vendeur doit régler une dette

Fiscale, bancaire, URSSAF, ATD, commandement de payer : l’avance immédiate règle le problème.

Lorsque le vendeur doit financer un autre projet

Prêt relais, achat d’une résidence principale, achat d’un appartement : pas besoin d’attendre la vente de la maison.

Lorsque la maison est en succession

Le complément de prix permet d’indemniser les héritiers et de débloquer le partage.

La solution PraxiFinance étape par étape

1. Analyse du dossier

Valeur du bien, situation financière, délais, contraintes juridiques.

2. Estimation notariale

Pour fixer la base du calcul : transparente, objective, encadrée.

3. Avance immédiate jusqu’à 50 % nets

Versée chez le notaire en quelques semaines.

4. Stabilisation de la situation

Paiement dettes, succession, divorce, déménagement, rachat de soulte.

5. Mise en vente professionnelle

Par un partenaire spécialisé, avec travaux si nécessaire.

6. Revente au bon moment

Pour capter le meilleur prix dans un marché ralenti.

7. Versement du complément de prix

Le vendeur récupère la valeur réelle du bien.

Conclusion

Si les maisons ne se vendent plus, ce n’est pas la faute des vendeurs.

C’est le marché qui est paralysé :

taux élevés, refus de crédit, DPE, travaux coûteux, baisse de la demande, peur des acheteurs.

Dans ce contexte, attendre ou baisser le prix ne fonctionne plus.

La vente avec complément de prix est aujourd’hui la seule solution qui permet :

  • d’obtenir immédiatement jusqu’à 50 % nets de la valeur du bien
  • de débloquer une situation urgente
  • d’éviter la décote
  • de laisser un professionnel gérer la revente finale
  • d’être accompagné par un notaire de A à Z

C’est une réponse moderne, sécurisée et adaptée aux réalités du marché 2025.

FAQ

Pourquoi les maisons ne se vendent plus en 2025 ?

En raison des taux élevés, du DPE, du coût des travaux et de la chute du pouvoir d’achat immobilier.

Faut-il baisser le prix pour vendre ?

Pas nécessairement. Cela entraîne souvent une perte financière importante, sans garantie de vente.

Le DPE est-il une cause de blocage ?

Oui, les biens F/G se vendent très mal et nécessitent souvent des travaux coûteux.

Comment obtenir de l’argent si la maison ne se vend pas ?

La vente avec complément de prix permet d’obtenir jusqu’à 50 % nets immédiatement.

Que faire pour vendre rapidement ?

Utiliser la solution PraxiFinance : avance immédiate + revente optimisée.

Est-ce légal ?

Oui, tout se fait par acte notarié avec traçabilité des fonds.

Combien de temps pour obtenir l’avance ?

En moyenne 4 à 6 semaines.

Boris Intini est le Directeur Général de PraxiFinance. Régulièrement invité dans les médias pour partager son expertise sur la monétisation immobilière, il contribue à l’enrichissement du site par la rédaction d’articles dédiés aux eneux des propriétaires en recherches actives de liquidités.