De plus en plus de Français se voient refuser un prêt non pas pour manque de revenus, mais à cause d’un problème de santé. Les banques exigent une assurance emprunteur couvrant décès, invalidité ou incapacité. Si cette assurance est refusée, le crédit l’est aussi. Le système est brutal : une simple mention dans un dossier médical peut suffire à rendre un projet impossible. Chez PraxiFinance, nous accompagnons justement ces profils oubliés du système bancaire, en leur ouvrant la voie vers des solutions patrimoniales concrètes, sans questionnaire médical.
Pourquoi la santé bloque un crédit
Les banques se protègent : elles veulent s’assurer que l’emprunteur pourra rembourser en cas de maladie. Les assureurs, eux, appliquent des grilles statistiques fondées sur le risque. Résultat :
– un antécédent médical, même ancien, entraîne une surprime ou un refus ;
– certaines pathologies (cancer, diabète, dépression, maladies chroniques) excluent automatiquement l’assurance ;
– et sans assurance, la banque bloque.
Même la convention AERAS (“s’Assurer et Emprunter avec un Risque Aggravé de Santé”) ne suffit pas toujours : elle reste lente, complexe et limitée à des montants inférieurs à 320 000 €.
Le paradoxe français : solvable mais inassurable
Des milliers de propriétaires se retrouvent dans un vide juridique : parfaitement solvables, mais “inassurables”. Ils possèdent un patrimoine net, souvent important, mais le système bancaire les écarte. Un prêt refusé à cause de la santé n’est donc pas un problème de financement, mais de modèle. Les banques prêtent sur le revenu et le risque de décès ; PraxiFinance finance sur la valeur réelle du bien.
Les alternatives concrètes au refus de prêt pour raison de santé
1. Le crédit hypothécaire : la santé ne bloque pas la garantie
Le crédit hypothécaire est une solution simple : le prêt est garanti par un bien immobilier déjà détenu. Aucun questionnaire médical n’est exigé, aucune assurance obligatoire. La décision repose sur la valeur du bien et non sur l’état de santé de l’emprunteur. Un propriétaire peut ainsi obtenir jusqu’à 60 % de la valeur nette de son bien en liquidités, sans aucune discrimination médicale. Cette solution est aussi utilisée pour contourner un refus pour taux d’endettement (crédit refusé pour taux d’endettement) ou un refus pour âge avancé (prêt refusé à cause de l’âge).
2. La vente à réméré : monétiser sans emprunter
La vente à réméré permet de débloquer immédiatement des liquidités en vendant temporairement son bien, tout en conservant la priorité pour le racheter. Là encore, aucune assurance n’est exigée. L’opération est 100 % notariée et juridiquement encadrée. Cette solution offre aux propriétaires confrontés à un refus de prêt pour raison médicale la possibilité de financer un traitement, un projet ou une dette, sans passer par un organisme de crédit.
3. La vente avec complément de prix : l’avance sécurisée
La vente avec complément de prix est un dispositif encore plus souple : elle permet d’obtenir rapidement un capital représentant 40 à 50 % de la valeur du bien, sans prêt, sans mensualité et sans questionnaire médical. Le propriétaire conserve la maîtrise de son bien jusqu’à la vente définitive. C’est la solution la plus fluide pour les profils “hors assurance” : aucun risque, aucune perte de propriété immédiate.
Exemple concret
Jean-Pierre, 68 ans, retraité, s’est vu refuser un prêt de 150 000 € pour aider ses enfants à racheter leur résidence. Son dossier était parfait, mais son assureur a refusé la couverture en raison d’un antécédent cardiaque. Grâce à une vente avec complément de prix sur sa maison principale, il a perçu 250 000 € sous trois semaines, sans assurance ni condition de santé.
Pourquoi ces solutions sont juridiquement sûres
Les opérations de monétisation patrimoniale (réméré, VACP, crédit hypothécaire) sont encadrées par notaire, inscrites au service de publicité foncière et totalement transparentes. Aucune banque, aucun assureur, aucun questionnaire médical : uniquement la valeur réelle du bien.
Comparaison : banque vs solution patrimoniale
– Banque : assurance obligatoire, critères d’âge, sélection médicale, durée limitée.
– PraxiFinance : garantie réelle, capital immédiat, rachat ou revente libre, zéro contrainte médicale.
Quand la santé devient une opportunité de rééquilibrage
Ce type de montage ne contourne pas la santé : il l’intègre dans une approche globale. En supprimant les mensualités, on supprime le stress et on restaure la stabilité financière. Les propriétaires ne subissent plus la rigidité des banques ; ils utilisent la valeur de leur patrimoine pour reprendre le contrôle.
FAQ — Prêt refusé pour cause de santé
Peut-on obtenir un prêt sans assurance ?
Oui, via un crédit hypothécaire ou une opération de monétisation encadrée par notaire.
La vente à réméré est-elle risquée ?
Non, elle est régie par le Code civil (articles 1659 et suivants) et réalisée devant notaire.
Combien de temps pour obtenir les fonds ?
Entre 20 et 30 jours selon la complexité du dossier.
Est-ce compatible avec un fichage FICP ?
Oui, car la solution ne repose pas sur un prêt bancaire. Consultez crédit refusé pour fichage FICP.
Peut-on conserver l’usage du bien ?
Oui, le propriétaire reste occupant dans le cadre du réméré ou de la VACP.