Obtenir un financement bancaire est devenu un parcours d’obstacles pour les marchands de biens. Les dossiers s’accumulent, les réponses tardent, les refus se multiplient. Ceux qui parviennent encore à décrocher un crédit doivent souvent patienter plusieurs mois, fournir un apport conséquent et accepter des conditions de plus en plus contraignantes. Pourtant, ces entrepreneurs participent activement à la vitalité du marché immobilier français. Ils réhabilitent, valorisent et redynamisent le parc immobilier. Mais les banques, frileuses face au risque, préfèrent désormais financer des profils stables plutôt que des opérateurs dynamiques. Face à cette réalité, de nombreux marchands de biens se retrouvent bloqués au cœur de leur activité : compromis signé, chantier engagé, trésorerie sous tension. Heureusement, il existe des alternatives sérieuses, rapides et sécurisées pour contourner le refus de financement et poursuivre ses opérations sans rupture.
Pourquoi les banques refusent-elles de financer les marchands de biens ?
Depuis 2022, les banques ont durci leurs critères de prêt pour réduire leur exposition au risque immobilier professionnel. Dans les faits, elles excluent une partie des opérateurs les plus actifs du marché.
Les raisons principales de refus sont :
- Activité jugée spéculative,
- Dossiers trop nombreux dans une courte période,
- Revenus irréguliers ou dépendants de la revente,
- Montages juridiques complexes (SCI, holding, SARL),
- Insuffisance de garanties personnelles.
En résumé, les marchands de biens paient le prix de leur agilité. Là où un particulier stable est jugé solvable, un professionnel qui multiplie les opérations est considéré comme risqué. Cette prudence bancaire crée un paradoxe : ceux qui créent de la valeur se retrouvent privés de financement, alors qu’ils pourraient recourir à des solutions alternatives comme financer un achat marchand de biens sans banque.
Les conséquences d’un refus de financement
Un refus bancaire ne se limite pas à la perte d’un projet. Il peut provoquer :
- impossibilité de finaliser une acquisition,
- perte d’un acompte ou d’une promesse d’achat,
- blocage de trésorerie sur un actif déjà détenu,
- pénalités contractuelles, voire contentieux notariés.
Au-delà des aspects financiers, c’est la dynamique de travail entière qui est affectée. Un refus peut faire perdre des mois de rentabilité et de crédibilité sur le marché.
Il devient donc essentiel de trouver une solution alternative immédiate, capable de remplacer la banque dans ses fonctions de financement, sans compromettre la maîtrise du projet. Des solutions comme le rachat de bien marchand de biens en font partie.
Les solutions patrimoniales pour contourner un refus bancaire
Lorsqu’un établissement refuse de financer une opération, cela ne signifie pas que le projet est mauvais. Cela signifie simplement que le modèle bancaire n’est pas adapté à la vitesse de l’activité marchande.
Plusieurs leviers existent pour contourner cette rigidité, notamment :
- Le rachat temporaire de bien, permet d’obtenir rapidement des liquidités sans vendre définitivement un actif.
- Le portage immobilier, consiste à céder temporairement un bien à un investisseur, avec une faculté de rachat à terme.
- Le refinancement d’actif, permet de transformer un bien existant en capital disponible pour financer d’autres opérations.
- Enfin, le crédit hypothécaire marchand de biens, s’adresse aux professionnels disposant d’un patrimoine immobilier et souhaitant en libérer une partie de la valeur.
Toutes ces solutions ont un point commun : elles remplacent le crédit bancaire par la valeur patrimoniale — notamment via des montages comme le refinancement d’actif pour marchand de biens.
Les limites du modèle bancaire traditionnel
Le financement bancaire est conçu pour des profils linéaires et prévisibles, tandis que le marchand de biens évolue dans un écosystème rapide et changeant.
- Un bien intéressant ne reste jamais longtemps sur le marché.
- Un retard de financement peut faire rater une affaire rentable.
- Un refus de prêt peut coûter plusieurs centaines de milliers d’euros de plus-value.
Les délais, comités et exigences bancaires sont incompatibles avec la temporalité des opérations marchandes. C’est pourquoi une nouvelle génération de solutions financières émerge, plus proches du terrain, rapides et adaptées à la réalité des marchands. Parmi elles, la vente avec complément de prix est la plus aboutie.
La vente temporaire : une réponse immédiate à un refus
Parmi les alternatives au refus bancaire, la vente temporaire avec faculté de rachat est la plus directe et la plus efficace. Elle repose sur un principe simple : convertir un actif en liquidités, tout en conservant le droit de le racheter plus tard.
Ce mécanisme permet au marchand de :
- dégager jusqu’à 50 % de la valeur du bien sous trois semaines,
- rembourser une dette ou un prêt en souffrance,
- relancer une opération interrompue,
- et surtout, éviter la vente forcée ou la saisie.
C’est une solution pragmatique, encadrée par la loi, qui préserve la propriété finale du bien tout en permettant d’agir vite. C’est également un outil de refinancement puissant, combinable avec d’autres leviers patrimoniaux.
Les avantages pour le marchand de biens
Le recours à la monétisation patrimoniale après un refus de financement présente de nombreux atouts :
- La rapidité : les fonds peuvent être débloqués en moins d’un mois.
- La confidentialité : aucune inscription bancaire, aucune incidence sur le scoring financier.
- La liberté d’utilisation : les fonds sont libres d’emploi, sans justification.
- La flexibilité : le marchand choisit la durée, le montant et la stratégie de sortie.
- La continuité : les projets en cours peuvent être poursuivis sans rupture.
C’est une approche patrimoniale plus qu’une approche d’endettement. Elle repose sur la valeur du patrimoine existant, et non sur la capacité de remboursement estimée par la banque.
Quand le refus de financement devient une opportunité
Paradoxalement, un refus de financement peut être un tournant stratégique pour un marchand de biens. Il l’incite à repenser son modèle, à diversifier ses sources de liquidités et à gagner en autonomie. Ce basculement vers le financement patrimonial est souvent une étape vers la maturité entrepreneuriale. Plutôt que de dépendre d’une seule banque, le marchand apprend à piloter sa propre trésorerie et à valoriser son actif existant. C’est un changement de paradigme profond, que PraxiFinance observe depuis plusieurs années : les marchands qui adoptent ces solutions deviennent plus solides, plus réactifs et plus indépendants.
Le rôle du refinancement d’actif dans la relance
Lorsqu’un financement est refusé, il existe souvent une solution simple : refinancer un bien déjà détenu pour libérer la trésorerie nécessaire. Cette méthode, consiste à utiliser un bien payé ou en fin de revente comme levier de liquidité. Plutôt que de vendre un bien en urgence, le marchand obtient jusqu’à 60 % de sa valeur sous forme de capital immédiat, sans alourdir son endettement. Cette trésorerie peut être réinvestie dans une opération en cours ou servir à racheter un autre actif stratégique. C’est une solution de continuité, discrète et efficace.
Le crédit hypothécaire comme levier post-refus
Un refus de financement ne signifie pas la fin de toute possibilité de prêt. Certains marchands peuvent mobiliser leur patrimoine privé via un crédit hypothécaire. Ce prêt, garanti par un bien immobilier, permet d’obtenir des liquidités sans impliquer la société d’exploitation. C’est une approche personnelle et patrimoniale, parfaitement adaptée aux dirigeants qui disposent d’un actif de valeur. Elle offre une sortie rapide du blocage bancaire et redonne à l’entrepreneur une marge de manœuvre immédiate.
Une fiscalité plus avantageuse qu’un prêt classique
Les opérations de monétisation patrimoniale présentent également un avantage fiscal considérable. Contrairement à un prêt, elles ne génèrent pas de dette ni d’intérêts bancaires déductibles, mais une mobilisation d’actif. Aucune fiscalité immédiate n’est déclenchée, puisque le bien reste dans le patrimoine du marchand, même s’il est temporairement cédé. Cette neutralité fiscale renforce la pertinence du modèle, notamment pour les marchands déjà fortement imposés sur leurs plus-values ou leurs revenus fonciers.
En résumé
Le refus de financement n’est plus une impasse : c’est un signal. Un signal que le système bancaire classique atteint ses limites face à la réalité du métier de marchand de biens. Plutôt que de subir ces contraintes, les professionnels choisissent aujourd’hui des leviers plus souples, plus rapides et plus sécurisés. Le rachat temporaire de bien, le portage immobilier, le refinancement d’actif et le crédit hypothécaire constituent les quatre piliers de ce nouveau modèle. Ils offrent à l’opérateur la possibilité de financer ses projets par la valeur de son patrimoine, non par la validation d’une banque. Et pour ceux qui recherchent une solution encore plus fluide, sans dette ni contrainte, la vente avec complément de prix devient en 2025 le modèle de référence. Elle permet d’obtenir jusqu’à 50 % du capital d’un bien sous trois semaines, tout en gardant la main sur le projet, la rentabilité et la revente finale.
FAQ
Pourquoi les banques refusent-elles les marchands de biens ?
Parce qu’elles jugent leur activité trop risquée et spéculative, malgré sa rentabilité réelle.
Que faire après un refus de financement ?
Explorer les solutions patrimoniales comme la vente temporaire, le portage ou le refinancement d’actif.
Peut-on obtenir des fonds rapidement sans passer par la banque ?
Oui, les solutions de monétisation patrimoniale permettent d’obtenir jusqu’à 50 % de la valeur d’un bien sous 3 semaines.
Le refus d’un prêt bloque-t-il d’autres opérations ?
Non, le recours à la monétisation permet de poursuivre les projets en toute autonomie.
Le portage immobilier est-il risqué ?
Non, il est encadré par acte notarié et permet une reprise du bien à tout moment selon les conditions convenues.
Peut-on refinancer un bien déjà détenu ?
Oui, le refinancement d’actif est une solution idéale pour dégager de la trésorerie.
Quelle fiscalité pour ces opérations ?
Elles ne génèrent pas de revenus imposables immédiats, car elles reposent sur la mobilisation d’un actif.
Quelle est la solution la plus rapide pour contourner un refus ?
La vente avec complément de prix, qui offre un capital important en moins d’un mois, sans recours au crédit.


