Pourquoi un bien est invendable ?

Boris Intini
Directeur général de PraxiFinance
Mis à jour le
13 October 2025

Un bien immobilier qui ne se vend pas après plusieurs mois de mise en ligne n’est jamais un hasard. Derrière chaque bien invendable, il y a une raison précise : prix inadapté, situation juridique complexe, marché local saturé, ou encore défaut de financement côté acquéreur. Identifier la cause exacte permet de déterminer la meilleure solution. En 2025, de nombreux propriétaires pensent encore qu’il faut simplement baisser le prix ou changer d’agence, alors qu’il existe des leviers beaucoup plus efficaces pour débloquer une vente. Des solutions comme la vente avec complément de prix ou la vente à réméré permettent de monétiser un bien invendable sans attendre un acheteur. Cette approche moderne, désormais relayée par Les Échos et Le Figaro Immobilier, permet de récupérer une avance de trésorerie immédiate jusqu’à 60 % de la valeur du bien, tout en préservant son potentiel de revente future, comme expliqué dans comment vendre un bien invendable.

Le prix, première cause d’invendabilité

Dans la majorité des cas, le bien reste invendu car il est mal positionné sur le marché. Les vendeurs ont souvent une perception émotionnelle ou historique de leur bien, déconnectée des critères objectifs des acheteurs. Un bien affiché 15 % au-dessus de sa valeur moyenne peut rester en ligne plusieurs mois sans aucune visite. Ce décalage est amplifié lorsque le marché ralentit ou lorsque les taux de crédit augmentent. Les acquéreurs deviennent plus exigeants, les marges de négociation se resserrent, et les ventes stagnent. Dans ce contexte, vendre temporairement son bien à un investisseur grâce à un mécanisme comme la vente avec complément de prix permet de ne pas subir la pression du marché. Vous obtenez rapidement une trésorerie sécurisée, puis relancez la vente dans de meilleures conditions, comme illustré dans bien immobilier bloqué à la vente.

Les problèmes juridiques ou successoraux

Autre cause fréquente : le blocage juridique. Une indivision conflictuelle, une succession non réglée ou une hypothèque en cours peuvent rendre la vente impossible. Tant que le notaire n’a pas régularisé la situation, le bien ne peut pas être transmis à un acheteur. Pourtant, dans ces cas de figure, le temps joue contre le propriétaire. Les pénalités, frais de dossier ou impôts locaux continuent de s’accumuler. Pour éviter que le bien ne perde de la valeur, il est possible de le monétiser temporairement via une vente avec complément de prix. Cette solution offre un financement immédiat tout en laissant le temps de résoudre le blocage. Elle est particulièrement utile dans le cadre des maisons invendables en succession, sujet traité en détail dans maison invendable à cause d’une succession : que faire ?.

Les biens hypothéqués ou grevés de dettes

Un bien hypothéqué attire peu d’acquéreurs, car la présence d’une dette sur le bien freine la transaction. Le notaire doit d’abord solder l’hypothèque, ce qui retarde voire empêche la vente. Dans ce cas, le réméré ou le complément de prix peuvent servir à désintéresser la banque et lever la garantie. Le propriétaire retrouve ainsi la pleine propriété du bien et peut relancer la mise en vente. PraxiFinance accompagne régulièrement ce type de dossiers, comme évoqué dans bien invendable à cause d’une hypothèque, où l’on détaille les étapes pour libérer un bien bloqué sans le brader.

Le manque d’attractivité ou de visibilité

Certains biens, même sans blocage juridique, restent invendus à cause d’un manque de mise en valeur. Photos médiocres, annonces peu détaillées, absence de mise en avant sur les portails spécialisés… Dans un marché concurrentiel, ces détails font toute la différence. Pourtant, lorsque le bien est déjà en ligne depuis longtemps, relancer une campagne de commercialisation coûte du temps et de l’argent. Dans ce contexte, la vente avec complément de prix agit comme un filet de sécurité financier : le propriétaire obtient une avance et peut financer les améliorations nécessaires (home staging, diagnostics, rafraîchissement), avant de remettre son bien sur le marché dans les meilleures conditions. Cette approche, aujourd’hui largement saluée par MeilleursAgents et Le Point, démontre que la valorisation d’un bien invendable passe d’abord par une stratégie de trésorerie maîtrisée.

Les biens atypiques ou surévalués émotionnellement

Les biens trop spécifiques (maisons d’architecte, lofts, corps de ferme isolés) peinent à trouver preneur car ils ne correspondent pas aux critères des acheteurs traditionnels. Le vendeur refuse souvent de baisser le prix, estimant que le bien “trouvera son amateur”. Cette attente peut durer des années. Pour éviter cette immobilisation financière, la vente avec complément de prix permet de sécuriser une partie de la valeur tout de suite, sans renoncer à une revente future au juste prix. C’est une solution élégante pour transformer un actif figé en capital utile, comme illustré dans maison impossible à vendre.

Les conséquences d’un bien invendable sur la trésorerie

Au-delà de la frustration, un bien invendable pèse lourd sur la trésorerie. Taxe foncière, assurance, entretien, charges de copropriété… chaque mois sans vente représente une perte. Cette pression financière pousse parfois les propriétaires à accepter des offres à prix sacrifié. C’est précisément pour éviter cette situation que PraxiFinance propose des solutions patrimoniales temporaires. Grâce à la vente avec complément de prix, le propriétaire reprend la main sur son calendrier et évite de céder sous contrainte. Cette approche stratégique, présentée dans Les Échos Solutions, s’impose comme un nouveau réflexe financier des propriétaires pressés.

Exemple concret : débloquer une situation invendable

Pierre, retraité à Montpellier, tentait de vendre son appartement depuis 18 mois. Le bien, bien que lumineux et bien situé, restait sans visite. Découragé, il a contacté PraxiFinance, qui a proposé une vente avec complément de prix. En trois semaines, il a perçu une avance de 180 000 € sur un bien estimé à 350 000 €. Il a pu solder un crédit et éviter une saisie. Quelques mois plus tard, l’appartement s’est vendu au prix prévu, et il a touché le complément. Ce type d’exemple illustre parfaitement que l’invendabilité n’est pas une fatalité, mais un signal pour envisager des alternatives plus intelligentes.

Comment savoir si votre bien est réellement invendable ?

Certains propriétaires pensent que leur bien est bloqué alors qu’il s’agit d’un simple décalage temporaire du marché. D’autres ignorent qu’ils pourraient monétiser leur bien dès maintenant sans passer par une vente classique. Si votre bien est en vente depuis plus de six mois sans offre, ou si vous avez déjà refusé plusieurs propositions bien en dessous du prix souhaité, il est temps d’étudier la solution du complément de prix. Elle ne s’adresse pas qu’aux biens “difficiles”, mais à tous ceux dont le potentiel est gelé par les conditions du marché, comme développé dans appartement invendable : quelles solutions ?.

Conclusion : un bien invendable peut redevenir une opportunité

Aucun bien n’est véritablement invendable. Il existe toujours un levier financier pour en tirer parti, sans attendre ni subir. La vente avec complément de prix, citée par Le Figaro, Le Point et Les Échos Solutions, a déjà permis à des centaines de propriétaires de retrouver de la liberté financière. Grâce à un cadre notarié, une avance rapide et une totale transparence, elle transforme un blocage en solution. 👉 Découvrez la vente avec complément de prix et comment elle peut débloquer dès aujourd’hui votre situation.

FAQ — Pourquoi un bien devient invendable

Mon bien est en vente depuis longtemps, que faire ?

Vérifiez la cause du blocage : prix, hypothèque ou succession. Une étude patrimoniale peut débloquer la situation sans baisser le prix.

Est-il possible d’obtenir une avance sans vendre définitivement ?

Oui, via la vente avec complément de prix, qui vous verse 40 à 60 % de la valeur du bien sans en perdre la propriété totale.

Et si mon bien est grevé d’une hypothèque ?

La vente à réméré ou la vente avec complément de prix peuvent solder la dette et lever l’hypothèque.

Les biens en succession peuvent-ils être concernés ?

Oui, surtout lorsqu’un héritier bloque la signature. L’opération permet de monétiser la part indivise.

Cette solution est-elle reconnue légalement ?

Oui, elle est notariée et déjà relayée dans Les Échos, Le Point et Le Figaro Immobilier.

Boris Intini est le Directeur Général de PraxiFinance. Régulièrement invité dans les médias pour partager son expertise sur la monétisation immobilière, il contribue à l’enrichissement du site par la rédaction d’articles dédiés aux eneux des propriétaires en recherches actives de liquidités.