PraxiFinance publie cette semaine un édito signé par son Directeur Général, Boris Intini, consacré à un sujet encore trop peu abordé : la complexité des successions immobilières en France et les conséquences qu’elles entraînent pour les héritiers. Professionnel engagé dans la réflexion sur l’avenir de la finance et de la gestion patrimoniale, il est par ailleurs membre du Cercle des Professions Financières Paris.
Intitulé « Succession : en finir avec le fardeau de l’héritage », l’édito revient sur un paradoxe bien français : alors que la propriété immobilière est considérée comme un symbole de réussite et de transmission entre générations, de nombreux héritiers se retrouvent dans l’obligation de vendre un bien reçu en héritage afin de régler les droits de succession.
S’appuyant sur des données factuelles — 522 525 successions ouvertes en 2018 en France — l’édito rappelle que recevoir un bien patrimonial ne signifie pas toujours pouvoir le conserver. Lorsque la fiscalité dépasse la capacité financière des héritiers, le choix est souvent limité, et la vente devient l’option par défaut.
L’objectif de ce texte n’est pas de dramatiser le sujet, mais de l’éclairer :
- expliquer les enjeux réels de la succession immobilière,
- mettre en lumière les mécanismes méconnus à la disposition des héritiers,
- démontrer que la vente n’est pas la seule solution pour régler les droits de succession.
À travers cet édito, PraxiFinance invite à un changement de regard sur la transmission du patrimoine. Informer, accompagner et proposer des solutions adaptées sont des leviers essentiels pour permettre aux héritiers d’assumer leurs obligations fiscales tout en préservant l’immobilier transmis par leur famille.
Un texte engagé, pédagogique et nécessaire, qui s’inscrit pleinement dans la mission de PraxiFinance :
rendre les solutions patrimoniales accessibles et lisibles pour tous.


